Bibliothèque Ouverte d’Égyptologie (BOE) — ISSN : en cours — est une revue scientifique indépendante, en accès libre et pérenne, consacrée à l’étude de l’Égypte ancienne sous toutes ses formes. Elle accueille des articles allant jusqu’à 60 000 caractères (espaces et notes de bas de page inclus), couvrant tous les domaines de la discipline, de la préhistoire au monde copte, de la Méditerranée au Soudan, et au-delà. Elle valorise la diversité et l’originalité des approches, ainsi que le multilinguisme scientifique (allemand, anglais, arabe, espagnol, français, italien, portugais et autres sur demande). Plateforme multiformat, BOE peut accueillir des feuilles de calcul ou des modèles 3D en annexe de ses publications.
Libre accès, pérennité et indépendance
La publication dans BOE n’entraîne aucun frais pour les auteurs, qui conservent par ailleurs leurs droits sous licence CC BY 4.0. Les articles peuvent être lus gratuitement sur Zenodo, un dépôt institutionnel en libre accès, géré par le CERN et soutenu par l’Union européenne. Cette plateforme garantit la préservation à long terme et l’identification stable des publications via un DOI, indépendamment du devenir de la structure éditoriale de BOE.
La politique éditoriale est détaillée et librement consultable par tous (cf. notre politique éditoriale), conforme aux exigences du Directory of Open Access Journals (DOAJ), un index international reconnu qui garantit l’intégrité scientifique, l’indépendance et la transparence. Cette rigueur limite les biais liés à l’endogénie : le seuil de publications signées par les membres du comité éditorial ou scientifique est limité à 25 %.
Une certification par les pairs
Notre intervention sur la forme des articles est volontairement réduite : nous n’imposons aucune standardisation dans la présentation (structuration du texte, usage des notes, présentation bibliographique, etc.). Nous souhaitons préserver les diverses conventions académiques autour du globe. Ainsi, BOE n’agit pas tant comme éditeur traditionnel que comme une certification par les pairs, garantissant la qualité et la reconnaissance des recherches tout en respectant la voix de l’auteur.
Qui sommes-nous ?
La revue est éditée par la Bibliothèque Ouverte des Mondes Anciens (BOMA), une maison d’édition associative et indépendante établie en France (association loi 1901), engagée en faveur de la libre diffusion du savoir.
Comité éditorial
Guilherme Borges Pires (doctorant en Histoire ancienne - Égyptologie et chercheur au CHAM – Centre for the Humanities, FCSH, Universidade NOVA de Lisboa)
Victor Braga Gurgel (doctorant en Histoire ancienne - Égyptologie, Faculdade de Letras da Universidade de Lisboa)
Alessandro Calò (Master en égyptologie, Università degli Studi di Torino)
Jérémie Chemin (Master en égyptologie, Sorbonne Université)
Noémie Lecroq (doctorante en égyptologie à l'École Pratique des Hautes Études [EPHE-PSL])
Edson Poiati Filho (docteur en égyptologie, Université de Montpellier Paul-Valéry ; directeur de la publication* et rédacteur en chef)
Ghada Ramadan (doctorante en linguistique, Université du Caire)
Jacqueline Robin (Master en égyptologie, Sorbonne – Paris IV)
*Conformément à l’article 93-2 de la loi n° 82-652 du 29 juillet 1982, pour une publication en ligne éditée par une personne morale, le directeur de la publication est son représentant légal ; à ce titre, le président de l’association éditrice assure la direction de la publication.
Comité scientifique
Ninon Blond (École normale supérieure de Lyon)
Carlos Carvalhar (Universidade de São Paulo)
Gaëlle Chantrain (Université catholique de Louvain)
Marion Claude (Institut français d’archéologie orientale)
Fábio Frizzo (Universidade Federal do Triângulo Mineiro)
Hanane Gaber (Université de Montpellier Paul-Valéry)
Carlos Gracia Zamacona (Universidad de Alcalá)
Rita Lucarelli (University of California, Berkeley)
Luiza Osorio G. Silva (University of California, Irvine)
Séverine Marchi (MEAE/CNRS, Directrice de la SFDAS)
Ahmed M. Mekawy Ouda (Université du Caire)
So Miyagawa | 宮川 創 (Université de Tsukuba | 筑波大学)
Nicolas Morand (Institut Royal des Sciences Naturelles de Belgique)
Clémence Pagnoux (Muséum national d'Histoire naturelle, France)
Stéphane Pasquali (Université de Montpellier Paul-Valéry)
Felix Relats Montserrat (Sorbonne Université)
Dina Serova (Humboldt-Universität zu Berlin)
Sherouk Shehada (Université de Helwan)
Marwa Soliman (Université de Mansoura)
Danijela Stefanović (Université de Belgrade)
Filip Taterka (Académie polonaise des sciences)
Simon Thuault (docteur en égyptologie, chercheur indépendant)
